Ne croyez pas tout ce que vous voyez et entendez. Il n’y a pas que des braves dans la 7ème constellation Dofusienne, à savoir les territoires de Brakmar et Bonta. Démons, esprits frappeurs et anges démoniaques trainent à tout va. Moi, Xena-Chakram, je vais vous raconter l’histoire du légendaire guerrier, Dark Brakmar, qui fut à l’origine de la naissance d’une princesse guerrière, issue de bataille et de guerres sanglantes, dont le voile des ténèbres envahissa son âme trop tôt. Ploune, c’est ma tournée. Sert à boire pour tous. On a soif ! Et approche toi écouter cette histoire.
D’abord, connaissait-vous le légendaire guerrier, Dark Brakmar. Quoi ? Vous le connaissez-pas ? Honte à vous. Ce fabuleux guerrier, de classe tellement peu honnorable qu’elle fut effacée dans l’histoire, et d’un instinct très primitif (attention, toute ressemble avec un personnage encore vivant ou décédé ne sera que pure coïncidence ^^). Il conquit tous les territoires de la constellation, toujours attisé par la même haine envers tout être vivant, avec qu’un seul but, tuer toute personne qui croise son chemin. Ce combattant solitaire et hors paire n’avait aucune pitié. Pillages, sang, violence et morts étaient ses passe-temps favoris.
Après ces combats, il allait s’abreuver à la taverne du Chabrulé où il finissait ses nuits bourré comme un sadi, avec dans sa couche au moins 7 esclaves de Canopée (les plus belles du territoire, pourquoi se priver).
Un jour, chassant du côté du cimetière des torturés, il entendit un chant mélodieux venu de nulle part et fut immédiatement envahi par un sentiment étrange. Il n’avait jamais ressenti cette émotion. Serai-ce dû à la légendaire chaleur bontarienne ou la présence toute proche d’un dofus ? Intrigué, il suivi ce chant jusque dans la forêt maléfique aux abords du labyrinthe dans lequel sommeillait son ancêtre Dark Vlad. Il y découvrit une éniripsa en pleine méditation, tellement intense qu’une aura s’était développée autout d’elle la couvrant d’un mur électrique infranchissable. Eblouie par sa beauté, il s’assit à côté d’elle pour l’écouter chanter, toujours envahi par ce sentiment étrange et attirant. Apaisé, il s’endormi à ses côtés. (passage censuré) A son réveil, il était nu comme un vers, scotché au sol par le fil de soie d’une gardienne des égouts, l’eniripsa sur lui, en pano vampyr, pointant une xyothine sur sa gorge …
heuu…. Tunks, tu fais quoi sur Kra là, tous les deux par terre ? Je vous ai pas demandé une reconstitution de la scène ! Bon. Je vois que vous en avez rien à faire de mon histoire. Puisque c’est comme ça, je m’en vais. Vous aurez pas la suite. NA !